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Quelle addiction au porno ?

Quelle addiction au porno ?


Selon une étude australienne, le X devient un problème uniquement si la consommation quotidienne dépasse 16h…




L’addiction à la pornographie. En voilà un sujet qui se veut particulièrement récurrent. Une sorte de marronnier pour les médias comme pour les scientifiques. La dernière étude en date, menée actuellement en Australie par des chercheurs de l’Université de Sydney, vise à évaluer l’importance du X dans le pays.

30% de femmes

Sans grande surprise, le principal point de départ de cette étude est l’augmentation de la consommation de pornographie en Australie. Pour autant, cela ne sous-entend pas que le business du X se veut florissant sur l’île, car cette poussée est surtout consécutive au développement d’Internet et à la prolifération d’un contenu facilement accessible, parfois même gratuitement. Mais comme l’explique le Dr Gomathi Sitharthan qui dirige cette étude, cette consommation n’est pas un problème à moins d’être poussée à l’extrême.

« Regarder du porno en ligne ne devient un problème qu’à partir du moment où on y passe 16 à 18 heures par jour, sans rien faire d’autre et avec de sérieuses conséquences sur ses relations sociales, le travail, les études et les finances. » Un argumentaire qui pourrait presque s’appliquer à n’importe quel domaine… Il est une donnée en filigrane qui s’avère tout aussi intéressante puisque cette étude part également du fait que 30 % des consommateurs sont des femmes. Il faudra attendre la fin de l’année pour avoir confirmation de ce chiffre, mais cela reste une manière supplémentaire de mettre à mal le cliché qui veut que le X soit l’apanage de mâles frustrés…