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Les Tokyoïtes, prêtes à passer au porno

Les Tokyoïtes, prêtes à passer au porno

 

Une étude statistique récente a interrogé la population féminine de Tokyo (originaire des quartiers de Shibuya et Machida), pour définir si ces dames seraient opposées ou non à l’idée de tourner dans un film porno (AV - Adult Video).

 

L’étude - portant sur un ensemble de 200 femmes - partait du postulat qu’environ 200 Japonaises avaient déjà figuré dans une œuvre d’AV (Adult Video : industrie du film pour adultes) et s’est attachée à vérifier cette rumeur. Selon la Nihon Ethics of Video Association, le nombre de films AV est passé de 4000 à 5000 entre 1989 et 1996, atteignant même le chiffre de 9000 en 2004. Dans un même ordre d’idées, entre 4000 & 6000 actrices entrent et sortent de l’industrie chaque année.

 

Beaucoup ont répondu que ça ne pourrait jamais arriver et « qu’elles ne comprenaient pas la mentalité de celles qui le faisaient. » Dix pourcents des personnes sondées avouent tout de même personnellement connaître une actrice d’AV, gravitant dans leur proche entourage (à l’école, parmi leurs amies, …). Pour une étudiante de 20 ans, c’est même « pareil que d’être vendeuse dans un magasin ».

 

Une autre (âgée de 23 ans) avance qu’il y a « beaucoup d’actrices mignonnes », tandis qu’une lolita de 18 ans affirme que « si l’actrice sépare distinctement sa vie privée de son activité dans le porno, alors c’est un métier acceptable. »

 

C’est un fait avéré que le glamour de certaines égéries d’AV et leur exposition médiatique tend à donner une meilleure image de la profession. La star Aino Kishi avoue ainsi que son premier contact avec le monde de l’AV fut la vision de l’actrice Rio Fujisaki en pleine action. Elle s’était alors dit : « Elle ressemble à un ange… » Un exemple symptomatique de l’engouement autour des AV idols, qui améliorent la perception d’une production vidéo que beaucoup pensent uniquement destinée aux pervers malsains.

 

Un grand nombre de filles s’étant prêtées à l’étude connaissait les noms de Rio Fujisaki et Kirara Asuka. Elles ajoutent qu’elles seraient partantes pour s’exposer dans de telles productions si « leur nom était masqué et leur visage flouté », « l’acteur est beau gosse », « le DVD est seulement disponible en dehors du Japon », ou plus simplement « si elles se sentent à l’aise avec leur corps ».