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Nouveaux rebondissements dans l’affaire Pablo Lapiedra

Nouveaux rebondissements dans l’affaire Pablo Lapiedra

 

Le réalisateur espagnol Pablo Lapiedra, suspecté de pédopornographie, fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, émis par le Tribunal de Barcelone.

 

On vous avait déjà parlé de Pablo Lapiedra, réalisateur ibère (Depravada, Especial Lucia La Piedra, Woman Pink Hair) menacé de lourds chefs d’accusation, mais finalement libéré en septembre 2011. Depuis lors, les investigations continuaient de plus belle et le voici sous le coup d’un mandat d’arrêt international décrété par le Tribunal de Barcelone. Accusé de prostitution à des fins mercantiles envers des mineurs colombiennes, Pablo - qui a toujours nié - était vraisemblablement lié à un vaste réseau de pornographie infantile en direction des Etats-Unis, impliquant des adolescentes latinos. Ce sont les résultats d’une enquête menée de concert (depuis 2008) par la Brigade de Recherche Technologique, la Police Nationale de Colombie et Interpol.

 

Les allégations prenaient leur source dans le témoignage d’un enseignant de Medellín, qui déclarait que ses élèves étaient tombés sur des vidéos disponibles sur le site www.pablopiedra.com, dont une mettant en scène une ado de 16 ans, insultée et violée par deux hommes. Ces jeunes filles étaient trompées par Lapiedra, qui les faisait croire à un casting et leur transmettait de faux papiers, de façon à mentir sur leur âge. Ensuite, il les forçait à tourner dans des scènes hard.

 

Depuis lors, Interpol a ordonné la fermeture des pages incriminées et lancé un mandat d’arrêt international contre Lapiedra et sa femme, chez qui il se cachait. En effet, le lieu de tournage de ces vidéos fut clairement identifié comme une chambre à coucher appartenant au réalisateur et sise en Espagne. 

 

 

La Colombie réclame son extradition et l’Espagne aurait 30 jours pour s’exécuter. Pablo Lapiedra est passible de peines allant de 8 à 12 ans de prison en Colombie, de 5 à 9 ans en Espagne.